Charte de Guilde.

Voila mes amis.
C'est avec une immense joie que je viens poser ses quelques lignes sur la première page de notre grand livre. Elles serviront à orienter les nouvelles brises. Je vous demandes à tous et à toutes de soignement lire ses quelques règles de respect, et de signer en bas si vous l'approuvez bien entendu. Si ses règles ne vous conviennes pas, veuillez me pardonner, mais vous n'avez pas votre place dans notre famille.

1) Je m'engage à ne pas utiliser ou a restreindre dans la mesure la plus acceptable les abbréviations, langages déviants(sms) et à formellement prohiber les insultes, ainsi qu'à conserver l'esprit de l'ordre.

2) Sans obligation précise de présence ou d'attendance je promets de participer dans la mesure qu'il m'est donnée de pouvoir tenir, à la vie de la guilde, à son fonctionnement ainsi qu'à son développement et à son bien-être.

3) Je stipule tenter d'éviter la confrontation et les conflits au sein de la guilde et entends règler les dissenssions inévitables au sein d'un groupe multiple avec le plus grand calme pratiquable en raison des circonstances et à me référer à mes suppérieurs en cas de problème grave, ne semblant pas pouvoir se résoudre selon la démarche susmentionnée.

4) Je tenterai d'apporter mon aide à chaque fois que cela s'avère possible tout en conservant la spontanéité et le naturel y afférant, sans jamais me sentir obligé de le faire.

5) En fonction de mes possibilités et disponibilités, j'essaierai d'assister aux réunions proposées qui seront organisées, tout en me souvenant que cela doit provenir d'un désir personnel et qu'il n'y aura aucune conséquence si je suis absent.

6) En rejoignant l'ordre Des Gardiens d'Umoya, j'entends officiellement respecter ses orientations (Donc le Role Play), principes ainsi que sa hiérarchie.


Les anciens reconnaitrons ses lignes. Il m'a semblais qu'elles étaient les plus appropriée, écrite par notre ancien Isulo tant aimé. (J'ai juste modifié 2 bricole, qu'en pensez vous? Je laisses tel quel ou on modifie? A vous de voir.)

Selênaes s'approche de la petite table ou se trouve le livre .
Elle remarque qu'il y a une page de plus et que celle ci est souligné d'un petit onglet comme pour qu'on la remarque.
Après une lecture breve, elle sourit :

Tiens, je connais ces mots, il fut un temps ou j'avais deja signé une chose semblable ...C'était un Age ou Umoya était encore guidée par un homme chauve, Chakazulu ...

Bien, je crois qu'en tant que Calligraphe de cette Guilde, il se doit d'etre la premiere a inscrive les mots suivants ...

Elle sort de sa sacoche calligraphié de minuscule dorrurres avec une précision digne des plus grands orfêvres, un petite plume d'une couleurs violassé...Un encre très spécial commence a s'couler alors de la plume elle même comme si celle ci pleurer...

Lut et Approuvé Par Selênaes Del'Therac .

Vous apercevait les Initiales SD juste en dessous, comme pour mimer une signature.

Eh bien, j'espere être la première mais pas la dernière a signer cette charte, pourvu que bon nombre de personne passe ici et appose un petit mot...

Elle disparait alors sur le seuil de la porte dans une éclair de givre duquel vous arriver a percevoir des minuscule particules rafraichir votre visage...

Très bien tout ca ... J'adhère à cette charte .

Le nain tenait dans sa main un livre qui semblait être un Grimoire de sort. Passa son autre main au dessus des pages qui se mirent aussitôt à se tourner dans un halo de lumière d'un orange chaleureux. Les pages se figèrent sur l'une d'elle. Le nain fît alors un signe avec les doigts en ajoutant : "Je serai donc le second à signe", puis referma le livre.

On vit alors apparaître, sur le Grand Livre des Gardiens, une signature en lettre de Lumière Sacrée, d'une écriture soignée, fine et travaillée, presque scupturale, signifiant : Tahal martel-Azur.

[hrp /on] hey c pas parce que j'ai pas fait une signature rp et tout qu'il faut me dépasser pour autant :p la deuxième personne c'est moi tahal stop faire comme si j'étais pas là :p mais bon si vous y tenez ... [hrp /off]

S'approchant avec une lenteur délibérée de la table, la Chasseresse observe ses compagnons signer. Prenant à son tour la plume, elle appose, non sans émotion, sa signature : Lu et approuvé par Invis Alönoräe

C'est pas ça Vivi, c'est juste que tu as signé ente le temps où j'écrivais et le temps où j'envoyais. Tu as signé lorsque j'écrivais. Euh...c'est p'têt pas très clair. Voulais pô t'passer d'vant moâ.

Mille scuz, mille bisous

Tahal

Dans sa froideur de chevalier de la mort, Vorens prit le livre et lut la première page.

Sans dire mot, il signat de sont sang : Vorens NoirSoleil.

Invis a écrit:Très bien tout ca ... J'adhère à cette charte .

Azenath avait suivi les indications d'Invis et découvrit avec joie que pour une fois elle ne s'était pas égarée dans les couloirs. Approchant de la table, elle parcourut des yeux la charte, et avec un sourire appréciateur elle apposa sa signature .

Azenath avait suivi les indications d'Invis et découvrit avec joie que pour une fois elle ne s'était pas égarée dans les couloirs. Approchant de la table, elle parcourut des yeux la charte, et avec un sourire appréciateur elle apposa sa signature .

(ehm, c'était moi ce message..je n'avais pas vu qu'invis était connectée d'office dès qu'on entrait sur votre site depuis mon pc)

La guerrière arrive devant le Livre fermé...

Tout-à-coup, elle entend un léger sifflement, puis, la porte s'ouvre d'un coup se fracassant contre le mur laissant entrer un souffle de Vent puissant, qui commence a faire touner les pages du Livre les unes après les autres ...Le souffle se calme alors dans un rugissement étouffé, ainsi que les pages qui s'arrete sur une page encore vide ou les seules lettres ' Charte ' sont écrites d'un encre dorée...

L'ouïe fine, Fethinda écoute encore le rugissement du Vent qui s'échappe aussi vite qu'il est arrivé ...



Puisque il doit en être ainsi ...

Le bouclier en bandolière et l'épée au foureau, Fethinda sort d'une petite sacoche a sa taille , une plume que même les oiseaux d'Azeroth pourrait envier...Vous ne reconnaissait pas cette plume...

Nous y voila ...

" Fethinda PorteLame , Lu et approuvée, Hurlevent ."

Elle regarde alors l'Arbre qui, par la chaleur printanière, laisse échapper un long craquement...

Nous avons fait le bon choix ...

Se dit elle, avant de repartir d'un pas décidé vers de nouvelles aventures...

Le tout jeune druide ayant entendu parler d'un livre se renseignat auprés de ses nouveaux alliés pour y jeter un coup d'oeil. Aprés plusieurs jours de demande une personne lui révéla le lieu où ce livre reposait. Le prenant tendrement entre ses mains crochu il l'ouvrit et fût surprit de découvrir ces arabesque, inconnue et étrange au druide. Il plongea son regard dedans, non pour déchiffrer les lignes qui etaient écrite dans un langage inconnue, mais pour apprécier ces traits qui se croisaient et s'embrassaient. Serrant le livre dans prés de son coeur, il fermat les yeux et revit dans sa tête ces dessins étrange pour lui, mais doucement ...trés doucement ces suites de lignes hypnotique se démélairent, pour s'imposer dans l'esprit du druide, qui comprit en entier les inscriptions du livre. Délicatement il signat de sa séve : Lu et approuvée par Snøwheal Trees.

Zeelig avait décidé de s'accorder quelques temps de repos dans sa mesure, dans la fraîcheur et le tumulte du camp de bûcherons du Val d'Est. Elle y avait élu domicile il y avait fort longtemps pour pouvoir se recueillir loin de la capitale sans toutefois avoir à subir le silence et la solitude d'une maison d'ermite. Là, les nuits étaient paisibles et les journées connaissaient une activité incessante entre la forêt et la scierie. C'était un compromis que Zeelig estimait tout à fait satisfaisant.

Elle était donc allongée dans l'herbe, libérée de tout le matériel qui l'encombrait d'ordinaire mais encore enchaînée à la malédiction des démonistes. Thangron n'était pas là mais son murmure ne se taisait désormais plus jamais.

Alors qu'elle tentait d'écouter les bruits de la nature environnante, une brise fraîche passa sur son visage et déposé au creux de son oreille quelques mots à l'écho agonisant : "Umoya attend."

La démonologue ouvrit grand les yeux, fixant la frondaison qui brunissait à l'approche de la Sansaint. Umoya ... Elle croyait avoir déjà entendu un mot aux sonorités voisines au cours de son passé récent. Elle se redressa et resta assise là dans les herbes hautes. Le visage affichant un air perplexe, elle tenta de se remémorer le contexte dans lequel ce mot s'était déjà présenté à elle. De toutes évidences, c'était à Hurlevent mais la citadelle était vaste. Il n'y avait qu'une solution : y retourner et espérer que les souvenirs referaient surface. Zeelig aimait que ses questions ne restassent pas sans réponse.

Elle fit le tour de sa maison et y entra. Les bûches qu'elle avait jetées dans l'âtre de la cheminée finissaient de se consumer et elle ne prit pas le temps d'alimenter les braises encore chaudes. Elle savait pertinemment qu'à son retour, toute la maison aurait retrouvé une froideur typique d'Elwynn à l'automne mais elle avait toujours fait passer ses soucis matériels en dernier rang. Elle monta à l'étage, ouvrit son armoire et attrapa son sac par la bandoulière. Elle le fit passer sur ses épaules qu'elle recouvrit ensuite d'une cape ample. Elle attacha ses armes à sa ceinture et ressortit. Du Néant Distordu, elle appela l'animal démoniaque qui avait jadis appartenu à Xoroth, puis elle le lança au triple galop.

Comme à chaque fois, Hurlevent surgit des arbres à la sortie de la forêt et Zeelig s'en impressionnait encore. Elle franchit les portes grande ouvertes puis traversa le pont, saluant au passage Jonathan, aussi fidèle à son poste qu'une statue de pierre. Elle ne s'arrêta qu'au niveau des secondes portes, laissant une distance respectable entre elle et la place des commerçants qui était, en cette heure comme en toute autre, bondée de gens de tous les horizons. Dès qu'elle lâcha le contrôle de sa bête, celle-ci disparut du monde matériel d'Azeroth, trop impatiente de rejoindre les ténèbres impalpables de l'univers d'où elle venait. La démoniste se laissa imprégner de l'ambiance de la cité des Hommes en fermant les yeux. Qu'y avait-il comme endroits à visiter ici qui lui permissent de retrouver quelques souvenirs d'Umoya ? Il en existait tant ... Le parc, peut-être ? Ou le quartier des mages ? Le sommet de la haute tour, plus particulièrement ? Ou une auberge, lieu des milles rumeurs ? Non, non, c'était bien trop désordonné pour espérer trouver une solution. Alors Zeelig rouvrit les yeux et regarda le premier lieu qui se présentait à elle : la maison des guildes. Là, on pourrait probablement lui prodiguer bien des conseils.

Elle se dirigea vers l'édifice et y franchit la porte restée ouverte. Elle repéra de suite le registre des guildes de l'Alliance, un énorme volume au cuir craquelé malgré le graissage dont on le garnissait régulièrement. Elle en souleva l'épaisse couverture et feuilleta. Vers la fin de l'ouvrage, elle découvrir une confrérie du nom d'Umoya. "Les gardiens d'Umoya", plus exactement. Une voix la fit sursauter.

"Vous vous intéressez à notre compagnie pour de nobles raisons, j'espère ?" entendit-il. Elle se tourna vers la voix et découvrir une femme, grande et au port altier, aux yeux vifs mais au regard sombre. Aussitôt, Zeelig perçut un grondement en elle, comme une rivière souterraine dans une grotte. Puis elle remarqua le tabard que la femme arborait sur sa poitrine. Le symbole était identique que celui en tête de la page d'Umoya.

"Quelle part le hasard peut-il jouer dans la rencontre de deux démonistes venus en un même lieu dans un unique but ?" demanda-t-elle.

"Probablement aucune", répondit la femme. Puis elle continua : "Je me nomme Svanhilde, officier des Gardiens d'Umoya.
_ Et démoniste à ses heures, compléta Zeelig qui espérait ne pas se tromper sur l'origine du "bruit" qu'elle percevait chez la femme.
_ En effet, démoniste, à votre instar, tenterai-je de dire.
_ C'est exact, ma Dame. À mon instar. Je suis ici parce que le vent m'y a menée. Un vent frais venu me chercher jusque chez moi, à Elwynn, expliqua-t-elle sans détour.
_ Si vos oreilles furent sensibles au vent, votre âme ne sera pas insensible à Umoya."

La discussion dura entre les deux femmes démonistes jusqu'à ce que Svanhilde fît une proposition à Zeelig ; proposition que celle-ci ne voulut ni accepter ni refuser trop tôt. Aussi, elle chercha à en savoir davantage sur la confrérie en question. Cette dernière réunissait de bonnes gens, altruistes et soucieuses du monde qui les entourait, prêtes au partage et aux sacrifices. Et tandis que Svanhilde énumérait les qualités de sa compagnie, Zeelig ne pouvait s'empêcher de sentir défiler en elle tous les démons qui avaient peu à peu peuplé sa vie et elle se demanda si la part d'ombre en elle pourrait être contenu par la justesse et l'honneur d'un tel groupement de personnes.

Au final, la décision fut vite prise et Svanhilde emmena la démonologue jusqu'au siège de la confrérie des Gardiens d'Umoya. Avant tout autre procédure de présentation ou d'introduction, Zeelig dut lire la charte à laquelle elle devait accepter de se soumettre, corps et ce qui restait de son âme. Ses futurs confrères et consoeurs voulaient s'assurer que chaque nouvel arrivant s'attachât à suivre quelques préceptes de base et Zeelig, elle, espérait que son engagement l'aiderait à contenir le mal qui pourrissait en elle. Elle posa sa paume sur une page vierge et y appliqua un seau de démoniste fait d'un pentagramme à l'envers, puis au moyen d'une plume trempée d'encre grasse, elle apposa sa mention et signa de son nom.

« Zeelig,
Lu et approuvé ».

[HRP] Désolé si c'est un peu long, je n'ai pas pu m'en empêcher ! Et désolé également pour les libertés de comportement que j'ai pu prendre à l'égard de Svanhilde [/HRP]